SPLEEN

SPLEEN

Je pense que la mélancolie ça commence quand tout commence vers l’échec des sentiments profonde, on croit à une chose puis au fil du temps on découvre que c’était juste un mirage ,tu commence par dessiné une image, tu colore son espace,tu détermine les traits,et tu crois que c’est un beau tableau à aimer,apprécier peut être des choses qui n’existe pas dans ce portrait, mais plutôt dans ta pensée ,et à force de croire à cette pensée , tu oublie de comprendre et découvrir le portrait qui n’est pas forcément lié à ta pensée, car le jour où tu exclu ta pensée, et tu essaye de voir le portrait d’une façon net et objective ,c’est là où commence la dégradation des sentiments acquises faussement, qui souffre le plus le cœur ? la raison ? l’esprit ? l’âme ? ou bien tt à la fois, moi je dirai plutôt t’aura le sentiment de faire un long voyage,aux alentours de ta profondeur,t’aura l’impression de toucher un vide fatal, et le gouffre de l’âme ça met tt ton être en exil vers une destination inconnue,une vision floue vers le néant , c’est comme un flash- bac tu vois défiler devant toi les images d’une vie suspendu entre vie et mort, entre l’océan et le néant, tu sens refaire le même chemin infini sans escale, vers tout les sentiments qui se suicident au fond de toi et se brûle en petit feu de chagrin, tu te sens comme un p’tit enfant que sa peur de la souffrance est plus grande que la souffrance elle-même,quand ton esprit s’arrête à un point mort ,quasi brutal, et que ton cœur s’écrase en petit morceau déchiqueté ,chaque morceau est une plaie vulnérable, quand tu sens tout ton être abonné en absent dans un monde factice , tu vois devant toi passer les gens comme des oiseaux mort, quoique le bavardage est fort tu écoute rien, coupé du reste du monde, tu ne peux qu’écouter ta profondeur, dans un silence mortel,tu perds la notion du temps, rien que le tic-tac d’une horloge ,cadencé par les battements de ton cœur devient un fardeau de plus,déterminer et décrire une mélancolie je dirai que ça ressemble à une journée maussade, à la grisaille d’un vieux manoir abandonné depuis une éternité, même les larmes refusent de se donner naissance tellement, le nœud qui serre fort la gorge, à un laps de temps tu te demande depuis quand tu t’es pas regardé dans une glace et lire attentivement tes pensées, se comprendre, lire ce qui te tracasse, ce qui te bloque , depuis quand t’as pas pu se dire ce qui ne va pas en toi, savoir juste dire stop quand tu sens ,que tu peux plus continuer cette comédie, dire tes quatre vérités, assouvir ton souhait de définir ton propre chemin, sans que quelqu’un te brouille la piste , depuis quand t’as plus crier jusqu’à ce que on sens les murs lézardé par tes proclamations , ça soulage car le trop de silence ça donne naissance aux reptiles ,qui finissent par envenimé tes veines, et contaminé ton esprit afin de tuer ton cœur en douceur, quand tu souffre la cause profonde c’est pas forcément contre autrui, mais plus profondément c’est une révolte contre soi-même ; d’avoir marginalisé et isolé ,ton sens de logique, d’avoir trop longtemps fait taire ce que t’as envie vraiment envie à dire à autrui en tout clarté, ton défaut d’avoir dévié le raisonnement qui t’oblige à clarifié les choses, même ton cœur tu l’as cloisonné dans des masques de sentiments aléatoire, ton caprice d’avoir détourné ta propre vision pour analyser tout ce qui est au fond de toi te dis de faire marche arrière et ralentir le pas, pour marquer un point de recul, et mettre les point sur les « i »,oui voilà quand tu sens la terre te tourne autour de toi ,et t’as l’impression qu’un volcan au fond de toi est entrain de s’ extérioriser , tu sentira que c’est toi qui entrain de se muter ,contre le temps et contre tes états d’âme,si tu arrive à verser des larmes chaude et amer à la fois ,sache que c’est la délivrance ,après tu sens ton cœur respire le grand air avec soulagement, et ton esprit se débarrasses des brumes , tu verra que la vapeur qui pèse sur ton cœur commence à s’alléger ,sache que cela et le commencement de la retrouvaille avec soi-même en toute paix, t’aura l’impression d’avoir trop piétiné, pour arriver à une destination juste de toi à toi c’est ça le quai de l’arrivé,c’est le voyage le plus long, le plus difficile à prendre ,ça demande beaucoup de volonté,autant de clarté,mais finalement ça avère pas impossible tout dépends de soi-même, d’entamer à son dedans, au fil du temps, ou à contre temps, ou bien faute de temps, on oublie de se faire volte-face à soi-même ,voir ce qui tracasse l’âme, ce qui paralyse l’esprit pour nous éclaircir les choses , c’est rare quand on décide de faire un bilan au moins une seule fois dans l’année à soi-même, vider l’âme de tout ce qui la fatigue ,parfois on veux faire ce qui est juste à faire, et dire ce qui est véridique à dire, pourtant on laisse mourir les mots au fond de nous et on transgresse la réalité des choses, c’est tellement vicieux ,pourtant il y a qu’un seul chemin vers la vérité, elle est claire à aveugler les yeux mais on fait semblant de ne pas la voir,c’est notre défaut ,c’est comme le soleil elle est brillante ,clair mais le chauve-souris ne le vois pas ,car il est aveugle, c’est ainsi l’être humain parfois incapable de voir la version réelle de la vie. Finalement je me dis ce que j’avais à dire ,j’ai appris au fil du temps de dire tout ce qui me passe comme pensées ,des idées tout simplement des idées pas forcément réelle, mais ça existe dans mon imagination ,j’écris ce récit je le publie sans le relire ni le corriger ,c’est à l’état primitif , juste j’ai laissé libre à ma plume sans soucis, pour la coordination entre les phrases et les mots articulé,juste ainsi ,restant fidèle à ce qu’ émane de mon esprit. Je vous souhaite bonne lecture, et j’espère que ça ne sera pas longitudinal à lire.

Mes propres Propos dédié à tout ceux qui me lisent

Bien Cordialement "MALIKA"